
À l'occasion du 1er Ukulélé Bazar !
Organisé par l’Ukulélé Club de France
Aux Trois Baudets, à Paris le 17 avril 2010
Toute l’après-midi, toute la soirée
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On voit par là quelle fascination l’ukulélé exerce sur chacun.
C’est qu’en ce début de millénaire où la machine, le robot, le browser et l’application sur écran tactile rivalisent pour nous vendre de tout faire à notre place, l’ukulélé offre de renouer avec l’authentique allégresse que procure la possibilité de fabriquer soi-même la musique. Une joie première, essentielle, biologique, qui renvoie à l’âge d’or, au rêve de paradis sur terre. D’ailleurs, afin de préserver ce léger parfum tropical, on s’appliquera à prononcer le nom de l’ukulélé comme à Tahiti ou à Hawaii : « ou - kou - lé - lé ». Beaucoup plus chic que la version anglicisée.
Devenu ukuléliste, l’adepte cherche son semblable. Il le rencontre ça et là, ou sur internet. Il forme avec lui un Ukulélé Club de France. Les membres se retrouvent dans des brasseries où ponctuellement se tiennent de joyeuses réunions. Là, ils partagent, ils échangent. Il jouent. Il jouent de tout, et bien au-delà.
Car si l’ukulélé permet d’interpréter avec la plus grande facilité, rock, rag, blues, jazz, chanson d’amour, que sais-je encore ? il sait aussi sublimer les genres, réinventer les musiques, repousser les frontières de la créativité sonore comme celles de la jubilation. Furieusement d’avant-garde tout en restant modeste, il se dépasse de partout. Ses possibilités sont si grandes ! C'est un instrument et demi.
L’ukulélé méritait bien qu’on en fasse tout un Bazar. Et même deux, un Petit et un Grand. Pendant toute une journée. Et jusqu'à tard le soir.